voici les dernières news de la voix du nord.
C'est à plus rien comprendre!!!!!!
Voici les dernières enws tirées de la voix du nord de ce jour.
Avous de juger! c'est à plus rien comprendre!!
Malgré le forcing touquettois, ASO a maintenu sa décision de ne pas organiser la course du 6février. La Fédération française de moto étudie cet après-midi une solution de repli.
SI le co-organisateur ASO a définitivement jeté l’éponge, la ville du Touquet veut encore croire à la tenue du dernier Enduro le 6 février. Une réunion décisive aura lieu cet après-midi au siège de la Fédération française de motocyclisme (FFM), à Paris, pour voir s’il est possible de sauver cette 30e édition. VLa «fédé» en médiatrice. – «La Fédération a proposé de réunir les parties concernées afin d’envisager les solutions permettant d’assurer le déroulement de cette prestigieuse épreuve», a indiqué hier la FFM dans un communiqué. À l’initiative du président Jean-Pierre Mougin, Léonce Deprez, député-maire du Touquet, et Étienne Lavigne, directeur d’ASO, étaient conviés autour de la table. En fait, c’est le premier adjoint, Hubert Flament, qui représentera la ville du Touquet. La réunion aboutira-t-elle à un plan de sauvetage ou à un constat d’échec? Au Touquet, l’espoir demeure. «Nous avons la volonté d’organiser ce bouquet final, déclare Léonce Deprez, avec une prudence inhabituelle. Nous faisons tout ce qu’il faut pour aboutir. » Sur les nerfs depuis trois jours, le député-maire a durement encaissé la confirmation du renoncement d’ASO, hier. VNégociations infructueuses chez ASO. – Après son gros coup de colère au téléphone avec Étienne Lavigne, suivi de l’annonce, jeudi, qu’ASO n’organiserait pas l’édition 2005, Hubert Flament a pris un peu le relais de son «patron». Pour tenter de faire revenir le « co-organisateur» de l’Enduro sur sa décision, il s’est rendu de bon matin au siège d’ASO, à Issy-les-Moulineaux, au sud de Paris. Hubert Flament y a été reçu par Étienne Lavigne, Patrick Zaniroli (le précédent directeur de course sur l’Enduro) et Patrice Clerc, le président d’ASO dont le maire du Touquet réclamait jeudi l’arbitrage (notre édition d’hier). La réunion a duré toute la matinée. En bon diplomate qui tente de recoller les morceaux, Hubert Flament a plaidé auprès de ceux qu’il côtoie sur le terrain de l’Enduro depuis trois ans que leurs craintes en terme de sécurité étaient infondées. Mais il a senti ses interlocuteurs «marqués par le Dakar» et ses cinq morts. «Je n’ai pas compris pourquoi ils n’ont pas voulu revenir sur leur décision», regrette-t-il. VÉpreuve interdite, mais course autorisée. – Une fois cette porte refermée, Léonce Deprez, cantonné à l’hôtel de ville du Touquet, a continué ses négociations téléphoniques. «Matignon a contacté le préfet et nous aurons l’autorisation jeudi», assurait-il hier. Ayant convaincu Léonce Deprez de renoncer à terme à l’Enduro, le pouvoir politique faciliterait ainsi la tenue de la grande fête finale espérée par le député-maire UMP, mais aussi par les commerçants, les fans de l’épreuve et les pilotes. Un épisode est passé inaperçu depuis mardi: la cour administrative d’appel de Douai a rendu son délibéré, confirmant l’annulation de l’édition 2002 de l’Enduro prononcé a posteriori par le tribunal administratif de Lille. Toutefois, cette décision, attendue depuis l’audience du 13janvier, ne devrait pas empêcher le préfet de pouvoir délivrer une ultime autorisation. VLe parcours continue d’être préparé. – Malgré sa déception quant à l’attitude d’ASO, Léonce Deprez s’attachait hier à « ne pas couper les ponts». Car pour que la solution de repli via la FFM aboutisse, il faut qu’ASO assure son « concours». «Nous avons réuni les conditions pour que l’Enduro puisse avoir lieu, à la fédération de se donner les moyens de se substituer à ASO », plaide le maire du Touquet. Dans l’espoir d’une issue favorable, les services techniques continuent à préparer le circuit sur la plage, jusqu’à Merlimont. Si la course se déroule, le circuit sera le même que l’an dernier, avec 800m dans les dunes. Pour la toute dernière fois.
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